Le SPF Finances vit actuellement une phase importante de son évolution. D’ici 2017, nous souhaitons en effet travailler sur deux plans, à savoir la restructuration du département et la professionnalisation continue de notre organisation.
Pour répondre au monde actuel, aux exigences de la société et du service public, à nos besoins, nous devons poser les échelons solides du changement que nous voulons voir au sein de notre SPF. Afin de devenir pleinement un service public orienté résultats et société, nous devons prendre plusieurs mesures, notamment redessiner notre structure organisationnelle et notre implantation géographique. Néanmoins, pour optimiser le fonctionnement de nos administrations générales et de nos services d’encadrement dans un nombre plus restreint de bâtiments, il est nécessaire de procéder par étapes.
Ce long cheminement s’est accéléré sensiblement en 2013 et se poursuivra bien sûr dans les années à venir. Les premières phases du "basculement" vers notre nouvelle structure nous engagent définitivement sur la voie de la modernisation. Ces premières étapes donnent déjà lieu à quelques écueils normaux et légitimes puisque notre évolution implique un grand nombre de bouleversements pour nos collaborateurs : diminution du nombre de bureaux, déménagements, changement de fonction pour certains...
Ce basculement vers une nouvelle structure fait partie d’un plus large ensemble d’initiatives prises afin d’augmenter notre efficacité, notre efficience et la qualité de notre prestation de service. Ces initiatives se font, nous l’essayons, dans un environnement toujours plus moderne et respectueux de notre planète, avec la dématérialisation et la simplification de nos outils par exemple, ou encore via des projets sociétaux.
La responsabilité sociétale occupe donc une place majeure dans la gestion de notre fonctionnement, et plus encore lors de ces moments délicats et transitoires qui sont partagés par le SPF Finances, ses collaborateurs et ses parties prenantes. Parmi les points importants retrouvés dans la définition de la responsabilité sociétale, nous pouvons y voir le respect des droits humains, du bien-être du personnel, de l’intérêt des parties prenantes, le développement de l’engagement sociétal et la transparence.
Dans ce contexte particulièrement, la transparence constitue une clé de voûte pour rassurer et rassembler. Pour ce faire, le Global Reporting Initiative (GRI) est l’un des moyens mis à notre disposition pour comparer, d’année en année, différents indicateurs. Le rapport GRI constitue donc un chapitre à part entière de notre rapport annuel : vous y trouverez, cette année, dix indicateurs qui vous permettront de constater notre évolution.
Je vous en souhaite une bonne lecture.
Hans D'Hondt
Président du Comité de direction
SPF Finances
Composition du Comité de direction du SPF Finances au 01.01.2014 | ||
Hans D’Hondt (NL) | président | |
Carlos Six (NL) † 06.05.2014 | administrateur général de la Fiscalité | |
Luc De Dobbeleer (NL) | administrateur général de la Perception et du Recouvrement | |
Frank Philipsen (NL) | administrateur général de l’Inspection spéciale des impôts | |
Noël Colpin (NL) | administrateur général des Douanes et Accises | |
Wouter De Ryck (NL) | administrateur général de la Documentation patrimoniale | |
Marc Monbaliu (FR) | administrateur général de la Trésorerie | |
Hilde Aerts (NL) | conseiller général en charge de la direction du Service d’encadrement Budget et Contrôle de la gestion et du Service Coordination stratégique et Communication | |
Louis Collet (FR) | directeur du Service d’encadrement ICT | |
Ivan Verborgh (FR) | directeur du Service d’encadrement Logistique | |
Kurt Van Raemdonck (NL) | directeur du Service d’encadrement Personnel et Organisation | |
Vincent Houssiau (FR) |
chef de cabinet du ministre des Finances Koen Geens |
Composition du Comité de direction du SPF Finances au 01.01.2014 | ||
Hans D’Hondt (NL) | président | |
Carlos Six (NL) † 06.05.2014 | administrateur général de la Fiscalité | |
Luc De Dobbeleer (NL) | administrateur général de la Perception et du Recouvrement | |
Frank Philipsen (NL) | administrateur général de l’Inspection spéciale des impôts | |
Noël Colpin (NL) | administrateur général des Douanes et Accises | |
Wouter De Ryck (NL) | administrateur général de la Documentation patrimoniale | |
Marc Monbaliu (FR) | administrateur général de la Trésorerie | |
Hilde Aerts (NL) | conseiller général en charge de la direction du Service d’encadrement Budget et Contrôle de la gestion et du Service Coordination stratégique et Communication | |
Louis Collet (FR) | directeur du Service d’encadrement ICT | |
Ivan Verborgh (FR) | directeur du Service d’encadrement Logistique | |
Kurt Van Raemdonck (NL) | directeur du Service d’encadrement Personnel et Organisation | |
Vincent Houssiau (FR) |
chef de cabinet du ministre des Finances Koen Geens |
Union européenne | 2.485.164 | |
---|---|---|
Communautés | flamande | 13.321.858 |
française | 8.861.986 | |
germanophone | 6.229 | |
Régions | flamande | 10.169.654 |
wallonne | 6.138.439 | |
Bruxelles-Capitale | 2.467.032 | |
Commissions communautaires | flamande | 11.045 |
française | 44.180 | |
Communes de la Région de Bruxelles-Capitale | 35.105 | |
Provinces | 540.485 | |
Agglomérations | 159.261 | |
Communes | 4.154.297 | |
Sécurité sociale | 15.904.516 | |
CREG | 60.996 | |
Zones de police | 219.781 | |
Fonds de calamité | 11.860 | |
Titrisation | 56.083 | |
Fonds voitures propres | 239 | |
APETRA (Agence Pétrole) | 38.826 | |
Total | 64.687.036 |
(GRI - Indicateur EC1)
Recettes fiscales | Impôts sur les revenus | 55.276.397 |
---|---|---|
TVA, droits divers et taxes | 36.331.651 | |
Autres impôts indirects | 149.407 | |
Taxes assimilées aux impôts sur les revenus | 897.849 | |
Autres impôts directs | 368.519 | |
Droits de douanes | 1.977.994 | |
Accises | 7.600.849 | |
Total | 102.602.666 |
Recettes non fiscales | Impôts directs | 116.587 |
---|---|---|
Impôts indirects (TVA et enregistrement) | 833.667 | |
Impôts indirects (Cadastre) | 7.940 | |
Douanes et Accises | 14.500 | |
Trésorerie | 7.805.413 | |
Dette publique | 1.359.565 | |
Total | 10.137.672 |
Une partie des recettes perçues par le SPF Finances pour l’autorité fédérale belge est destinée au financement d’autres pouvoirs comme l’Union européenne, les communautés et les régions, la Sécurité sociale, les communes et les provinces... (voir tableau "Recettes affectées au financement d'autres pouvoirs").
Le transfert de ces "revenus affectés" se passe dans le cadre de la loi spéciale de financement.
Ce qui reste après ces "affectations" sont les "Voies et moyens" qui doivent être approuvés chaque année par le Parlement belge. La plus importante partie de ceux-ci concerne les "besoins primaires" qui sont répartis comme suit :
À côté des "besoins primaires", l’augmentation annuelle de la dette de l’Etat et les intérêts de cette dette doivent être financés.
(GRI - Indicateur EC1)
Autant de situations qui conduisent à s’interroger sur la qualité des services. En 2013, le SPF Finances a lancé cinq enquêtes de satisfaction concernant ses clients externes. L’objectif est d’évaluer les spécificités propres à chaque administration générale.
Ces enquêtes sont les premières de cet ordre. Une nouvelle expérience donc.
Avec, d’une part, des résultats préliminaires : il en ressort un niveau moyen de satisfaction. Si la communication est jugée souvent froide et distante, le développement de e-services est lui bien apprécié. Et d’autre part, des leçons à tirer pour les prochaines enquêtes : limiter le nombre de questions et davantage orienter celles-ci.
Les résultats de ces enquêtes doivent donner lieu à des plans d’actions. Avec parfois, un effet immédiat, comme des communications plus fréquentes et mieux ciblées.
(GRI - Indicateur PR5)
Autant de situations qui conduisent à s’interroger sur la qualité des services. En 2013, le SPF Finances a lancé cinq enquêtes de satisfaction concernant ses clients externes. L’objectif est d’évaluer les spécificités propres à chaque administration générale.
Ces enquêtes sont les premières de cet ordre. Une nouvelle expérience donc.
Avec, d’une part, des résultats préliminaires : il en ressort un niveau moyen de satisfaction. Si la communication est jugée souvent froide et distante, le développement de e-services est lui bien apprécié. Et d’autre part, des leçons à tirer pour les prochaines enquêtes : limiter le nombre de questions et davantage orienter celles-ci.
Les résultats de ces enquêtes doivent donner lieu à des plans d’actions. Avec parfois, un effet immédiat, comme des communications plus fréquentes et mieux ciblées.
(GRI - Indicateur PR5)
Budget crédits d'engagement | Obligations engagées | Budget crédits de liquidation | Paiements réalisés | |
---|---|---|---|---|
Frais de personnel | 1.379.559 | 1.317.739 | 1.370.959 | 1.317.850 |
Frais généraux de fonctionnement | 266.522 | 242.656 | 268.833 | 236.131 |
Investissements généraux | 10.726 | 5.448 | 8.724 | 3.162 |
Frais de fonctionnement ICT | 76.984 | 63.229 | 96.160 | 87.125 |
Investissements ICT | 28.695 | 4.968 | 32.962 | 13.615 |
Avances sur créances alimentaires | 22.682 | 22.682 | 22.672 | 22.641 |
Fedorest | 33.943 | 30.351 | 33.943 | 30.351 |
Shape | 10.077 | 6.650 | 9.465 | 5.181 |
Organes de gestion | 5.115 | 4.654 | 5.115 | 4.750 |
Relations fin. internationales | 591.825 | 579.222 | 591.825 | 579.222 |
Autres | 235.253 | 221.949 | 173.310 | 159.231 |
Total | 2.661.381 | 2.499.548 | 2.613.968 | 2.459.259 |
Ce tableau indique l’état de l’exécution du budget au 31.12.2013.
Les circulaires de prudence budgétaire ont imposé un blocage administratif des crédits.
Ces blocages administratifs se sont élevés pour le SPF Finances à un montant de 103 millions euros (volet engagements) et un montant de 117 millions euros (volet liquidations).
Dans ce tableau, nous avons fait abstraction des crédits relatifs au dossier EFSF (1.112.672.000 euros) en engagement et en liquidation et du dossier de la contribution au FMI (1.847.704.000 euros) en liquidation.
(GRI - Indicateur PA8)
Consommation d'énergie directe (chauffage au gaz) et d'énergie indirecte (électricité et énergie) répartie par source d'énergie primaire
Région | Nombre de bâtiments mesurés en 2013 | Consommation d'énergie en kWh mesurée en 2013 | Consommation d'électricité en kWh mesurée en 2013 | Superficie électricité en m2 | Consommation chauffage au gaz en kWh mesurée en 2013 | Superficie chauffage au gaz en m2 |
Bruxelles | 9 | 56.813.020,63 | 33.551.867,87 | 486.047,00 | 23.261.152,76 | 471.361,00 |
Flandre | 66 | 54.580.175,60 | 16.848.445,97 | 481.337,00 | 37.731.729,63 | 518.814,00 |
Wallonie | 40 | 22.501.450,74 | 8.997.315,06 | 290.814,34 | 13.504.135,68 | 172.543,34 |
Total | 115 | 133.894.646,97 | 59.397.628,90 | 1.258.198,34 | 74.497.018,07 | 1.162.718,34 |
Superficie totale approximative en m2 de l'ensemble des bâtiments du SPF Finances : 1.403.000 kWh
Consommation (kWh) | Superficie (m2) | Moyenne (kWh/m2) | |
Energie | 133.894.646,97 | 111,3 | |
156.125.700,75 | 1.403.000 | ||
Electricité | 59.397.628,90 | 1.258.198 | 47,21 |
66.233.494,91 | 1.403.000 | ||
Chauffage | 74.497.018,07 | 1.162.718 | 64,07 |
89.892.205,84 | 1.403.000 |
Le nombre de bâtiments mesurés est passé à 115 bâtiments en 2013 (ils étaient 86 en 2011). Fedesco dispose des chiffres de consommations exactes pour 90 % (en surface) du parc immobilier du SPF Finances.
Les 115 bâtiments mesurés sont ceux qui disposent d'un monitoring et pour lesquels nous avons donc accès aux données. Les résultats en vert ont été calculés via une règle de trois basée sur la superficie totale approximative de l'ensemble des bâtiments du SPF Finances.
La donnée "superficie totale" étant approximative, les analyses énergétiques qui intègrent cette donnée sont à prendre avec précaution.
2009 ou année de référence | 2010 | 2011 | 2012 | 2013 | |
Consommation d'électricité en kWh mesurée | 59.601.020 | 60.735.652 | 60.779.974 | 61.718.548 | 59.397.629 |
Consommation de chauffage au gaz en kWh exacte | 68.892.899 | 84.470.354 | 66.109.266 | 73.712.336 | 74.497.018 |
Consommation de chauffage eu gaz en kWh nivelée degrés-jour | 78.403.481 | 78.237.763 | 81.984.354 | 77.106.811 | 71.967.905 |
Consommation d'énergie nivelée degrés-jours | 138.004.501 | 138.973.415 | 142.764.327 | 138.825.359 | 131.365.534 |
Benchmark | 100 % | 101 % | 103 % | 101 % | 95 % |
Pour comparer correctement la consommation de chauffage entre différentes années, la différence de température entre les années doit être nivellée et c'est pour cette raison que les chiffres exactes sont recalculés via les "degrés-jour" (table 20/15) vers des années normalisées.
Les consommations d'électricité restent presque égales.
Les consommations de gaz ont diminués de 8 % par rapport à 2009.
Les courbes 2013 sont légèrement différentes des courbes 2012. La raison est que nous utilisons en 2013 les mesures de 115 bâtiments au lieu de 113 bâtiments en 2012.
(GRI - Indicateurs EN3 et EN4)
Consommation d'énergie directe (chauffage au gaz) et d'énergie indirecte (électricité et énergie) répartie par source d'énergie primaire
Région | Nombre de bâtiments mesurés en 2013 | Consommation d'énergie en kWh mesurée en 2013 | Consommation d'électricité en kWh mesurée en 2013 | Superficie électricité en m2 | Consommation chauffage au gaz en kWh mesurée en 2013 | Superficie chauffage au gaz en m2 |
Bruxelles | 9 | 56.813.020,63 | 33.551.867,87 | 486.047,00 | 23.261.152,76 | 471.361,00 |
Flandre | 66 | 54.580.175,60 | 16.848.445,97 | 481.337,00 | 37.731.729,63 | 518.814,00 |
Wallonie | 40 | 22.501.450,74 | 8.997.315,06 | 290.814,34 | 13.504.135,68 | 172.543,34 |
Total | 115 | 133.894.646,97 | 59.397.628,90 | 1.258.198,34 | 74.497.018,07 | 1.162.718,34 |
Superficie totale approximative en m2 de l'ensemble des bâtiments du SPF Finances : 1.403.000 kWh
Consommation (kWh) | Superficie (m2) | Moyenne (kWh/m2) | |
Energie | 133.894.646,97 | 111,3 | |
156.125.700,75 | 1.403.000 | ||
Electricité | 59.397.628,90 | 1.258.198 | 47,21 |
66.233.494,91 | 1.403.000 | ||
Chauffage | 74.497.018,07 | 1.162.718 | 64,07 |
89.892.205,84 | 1.403.000 |
Le nombre de bâtiments mesurés est passé à 115 bâtiments en 2013 (ils étaient 86 en 2011). Fedesco dispose des chiffres de consommations exactes pour 90 % (en surface) du parc immobilier du SPF Finances.
Les 115 bâtiments mesurés sont ceux qui disposent d'un monitoring et pour lesquels nous avons donc accès aux données. Les résultats en vert ont été calculés via une règle de trois basée sur la superficie totale approximative de l'ensemble des bâtiments du SPF Finances.
La donnée "superficie totale" étant approximative, les analyses énergétiques qui intègrent cette donnée sont à prendre avec précaution.
2009 ou année de référence | 2010 | 2011 | 2012 | 2013 | |
Consommation d'électricité en kWh mesurée | 59.601.020 | 60.735.652 | 60.779.974 | 61.718.548 | 59.397.629 |
Consommation de chauffage au gaz en kWh exacte | 68.892.899 | 84.470.354 | 66.109.266 | 73.712.336 | 74.497.018 |
Consommation de chauffage eu gaz en kWh nivelée degrés-jour | 78.403.481 | 78.237.763 | 81.984.354 | 77.106.811 | 71.967.905 |
Consommation d'énergie nivelée degrés-jours | 138.004.501 | 138.973.415 | 142.764.327 | 138.825.359 | 131.365.534 |
Benchmark | 100 % | 101 % | 103 % | 101 % | 95 % |
Pour comparer correctement la consommation de chauffage entre différentes années, la différence de température entre les années doit être nivellée et c'est pour cette raison que les chiffres exactes sont recalculés via les "degrés-jour" (table 20/15) vers des années normalisées.
Les consommations d'électricité restent presque égales.
Les consommations de gaz ont diminués de 8 % par rapport à 2009.
Les courbes 2013 sont légèrement différentes des courbes 2012. La raison est que nous utilisons en 2013 les mesures de 115 bâtiments au lieu de 113 bâtiments en 2012.
(GRI - Indicateurs EN3 et EN4)
Région (lieu d'habitation) | Nombre de collaborateurs | Taux d'absents pour maladie (%) | Taux d'absentéisme pour maladie (%) | |||
2012 | 2013 | 2012 | 2013 | 2012 | 2013 | |
Bruxelles | 1.323 | 1.253 | 58,58 | 61,77 | 5,18 | 5,30 |
Flandre | 17.010 | 16.533 | 67,03 | 68,38 | 5,81 | 5,99 |
Wallonie | 11.698 | 11.256 | 69,64 | 71,70 | 7,61 | 7,95 |
Ce tableau reprend toutes les personnes qui ont travaillé pour le SPF Finances en 2012et 2013, y compris celles qui ont eu un contrat de courte durée.
Le taux d'absents pour maladie correspond au nombre moyen de travailleurs ayant au moins un jour d'absence pour maladie pendant la période considérée multiplié par 100 divisé par le nombre moyen de travailleurs pendant la période considérée.
Le taux d'absentéisme pour maladie correspond au nombre de jours d'absence pour maladie multiplié par 100 divisé par le produit du nombre d'équivalents temps-plein (ETP) et du nombre de jours ouvrables à prester pour un ETP.
2011 | 2012 | 2013 | |
Nombre de véhicules | 745 | 729 | 723 |
Nous avons ainsi réduit notre flotte automobile de 2,95 % par rapport à 2011 et de 0,82 % par rapport à 2012.
Pour la consommation réelle de carburant, nous nous sommes basés sur les factures de 2011, 2012 et 2013. Il faut faire une distinction entre les quantités d'essence et de diesel.
2011 | 2012 | 2013 | ||||
Consommation litre | Coût en euro TVA incluse | Consommation litre | Coût en euro TVA incluse | Consommation litre | Coût en euro TVA incluse | |
Essence | 198.198 | 298.051 | 181.345 | 288.601 | 168.425 | 260.663 |
Diesel | 421.903 | 562.063 | 419.084 | 581.685 | 371.672 | 495.145 |
Pour l'année 2013, notre consommation d'essence a diminué de 7,1 % par rapport à 2012 pour un coût en baisse de 9,6 %. Pour le même comparatif, concernant le diesel, notre consommation a chuté de 11,3% (engendrant une diminution du coût de 14,8 %).
Le "Guide CO2 de la voiture 2011-2012" nous précise les éléments suivants :
Sur base de ces informations, nous pouvons déduire que nous avons émis 1.543.591 kg CO2 en 2012 et 1.386.432 kg CO2 en 2013. Nous enregistrons donc une baisse de 10,18 % de kg CO2 émis lors de la circulation de nos véhicules de service.
2011 | 2012 | 2013 | |
Nombre de missions à l'étranger | 775 missions (soit 300 en train, 20 en voiture et 455 en avion) | 699 missions (soit 274 en train, 20 en voiture et 405 en avion) | 721 missions (soit 315 en train, 41 en voiture et 365 en avion) |
Nombre de billets de train distribués | 71.652 billets / Remarque : d'après la SNCB, un billet de train correspond à environ soixante kilomètres. | 81.500 billets / Remarque : d'après la SNCB, un billet de train correspond à environ soixante kilomètres. | 57.000 billets / Remarque : d'après la SNCB, un billet de train correspond à environ soixante kilomètres. |
Les missions à l'étranger servent principalement aux formations, conférences, réunions dans des bureaux à l'étranger avec d'autres administrations ou des entreprises privées, workshops, congrès, séminaires, roadshows, assemblées, conseils, forums... Elles concernent toutes les administrations et services et principalement l'AGFisc et l'AGD&A.
Après une baisse des missions à l'étranger en 2012, nous constatons à nouveau une montée pour l'année 2013.
Néanmoins, nous poursuivons nos efforts afin de limiter les voyages en avion : en 2013, ceux-ci ont baissé de 19,78 % par rapport à 2011 et de 9,87 % par rapport à 2012.
(GRI - Indicateur EN29)
2011 | 2012 | 2013 | |
Nombre de véhicules | 745 | 729 | 723 |
Nous avons ainsi réduit notre flotte automobile de 2,95 % par rapport à 2011 et de 0,82 % par rapport à 2012.
Pour la consommation réelle de carburant, nous nous sommes basés sur les factures de 2011, 2012 et 2013. Il faut faire une distinction entre les quantités d'essence et de diesel.
2011 | 2012 | 2013 | ||||
Consommation litre | Coût en euro TVA incluse | Consommation litre | Coût en euro TVA incluse | Consommation litre | Coût en euro TVA incluse | |
Essence | 198.198 | 298.051 | 181.345 | 288.601 | 168.425 | 260.663 |
Diesel | 421.903 | 562.063 | 419.084 | 581.685 | 371.672 | 495.145 |
Pour l'année 2013, notre consommation d'essence a diminué de 7,1 % par rapport à 2012 pour un coût en baisse de 9,6 %. Pour le même comparatif, concernant le diesel, notre consommation a chuté de 11,3% (engendrant une diminution du coût de 14,8 %).
Le "Guide CO2 de la voiture 2011-2012" nous précise les éléments suivants :
Sur base de ces informations, nous pouvons déduire que nous avons émis 1.543.591 kg CO2 en 2012 et 1.386.432 kg CO2 en 2013. Nous enregistrons donc une baisse de 10,18 % de kg CO2 émis lors de la circulation de nos véhicules de service.
2011 | 2012 | 2013 | |
Nombre de missions à l'étranger | 775 missions (soit 300 en train, 20 en voiture et 455 en avion) | 699 missions (soit 274 en train, 20 en voiture et 405 en avion) | 721 missions (soit 315 en train, 41 en voiture et 365 en avion) |
Nombre de billets de train distribués | 71.652 billets / Remarque : d'après la SNCB, un billet de train correspond à environ soixante kilomètres. | 81.500 billets / Remarque : d'après la SNCB, un billet de train correspond à environ soixante kilomètres. | 57.000 billets / Remarque : d'après la SNCB, un billet de train correspond à environ soixante kilomètres. |
Les missions à l'étranger servent principalement aux formations, conférences, réunions dans des bureaux à l'étranger avec d'autres administrations ou des entreprises privées, workshops, congrès, séminaires, roadshows, assemblées, conseils, forums... Elles concernent toutes les administrations et services et principalement l'AGFisc et l'AGD&A.
Après une baisse des missions à l'étranger en 2012, nous constatons à nouveau une montée pour l'année 2013.
Néanmoins, nous poursuivons nos efforts afin de limiter les voyages en avion : en 2013, ceux-ci ont baissé de 19,78 % par rapport à 2011 et de 9,87 % par rapport à 2012.
(GRI - Indicateur EN29)
2013 | Anvers | Limbourg | Flandre occidentale | Flandre orientale | Brabant flamand | Bruxelles | Brabant wallon | Namur | Hainaut | Liège | Luxembourg | Total |
Accident du travail | 40 | 13 | 26 | 59 | 18 | 14 | 5 | 18 | 60 | 47 | 6 | 306 (1,30%) |
Accidents bris de lunettes * | 1 | 0 | 0 | 0 | 1 | 0 | 0 | 2 | 6 | 1 | 0 | 11 (0,04%) |
Total travail + lunettes | 41 | 13 | 26 | 59 | 19 | 14 | 5 | 20 | 66 | 48 | 6 | 317 (1,35%) |
Accidents chemin du travail | 52 | 25 | 27 | 57 | 29 | 26 | 13 | 26 | 52 | 32 | 5 | 344 (1,46%) |
Maladies professionnelles | 0 | 1 | 3 | 2 | 0 | 0 | 1 | 0 | 1 | 1 | 0 | 9 (0,03%) |
* Les lunettes sont considérées comme une prothèse ou une extension du corps humain et sont intégralement indemnisées. Ces cas peuvent donc être pris en compte dans les accidents du travail.
2012 | Anvers | Limbourg | Flandre occidentale | Flandre orientale | Brabant flamand | Bruxelles | Brabant wallon | Namur | Hainaut | Liège | Luxembourg | Total |
Accident du travail | 44 | 18 | 23 | 28 | 19 | 87 | 4 | 28 | 35 | 42 | 11 | 339 (1,28%) |
Accidents bris de lunettes * | 0 | 1 | 0 | 0 | 0 | 3 | 0 | 1 | 3 | 0 | 0 | 8 (0,03%) |
Total travail + lunettes | 44 | 19 | 23 | 28 | 19 | 90 | 4 | 29 | 38 | 42 | 11 | 347 (1,31%) |
Accidents chemin du travail | 62 | 12 | 20 | 19 | 13 | 118 | 5 | 15 | 26 | 27 | 8 | 325 (1,23%) |
Maladies professionnelles | 2 | 0 | 0 | 1 | 0 | 1 | 0 | 0 | 1 | 0 | 0 | 5 (0,02%) |
* Les lunettes sont considérées comme une prothèse ou une extension du corps humain et sont intégralement indemnisées. Ces cas peuvent donc être pris en compte dans les accidents du travail.
2012 | 2013 | |
Nombre de personnes décédées suite à un accident du travail | 0 | 0 |
Nombre de jours de travail perdus suite à un accident du travail (pour le calcul des jours de travail perdus, ce sont les jours ouvrables qui sont pris en compte et pas les week-ends; le point de départ pour ce calcul est le jour-même de l'accident ) | 22.260 jours | 22.900 jours |
Les accidents mineurs ne font pas l'objet d'une déclaration d'accidents. Ils ne sont dès lors pas repris dans ce tableau.
La législation est en conformité avec les recommandations de l'OIT (Organisation Internationale du Travail).
Dix conseillers en prévention travaillent sur l'ensemble des bâtiments du SPF Finances afin de faire respecter la législation en matière des normes de sécurité. Ils rapportent aux services d'encadrement concernés en fonction du problème à résoudre; les recommandations sont mises en place avec l'aide de l'économe présent dans chaque bâtiment. Parallèlement, une cellule psychosociale est chargée de traiter les aspects psychosociaux du travail.
Région (lieu d'habitation) | Nombre de collaborateurs | Taux d'absents pour maladie (%) | Taux d'absentéisme pour maladie (%) | |||
2012 | 2013 | 2012 | 2013 | 2012 | 2013 | |
Bruxelles | 1.323 | 1.253 | 58,58 | 61,77 | 5,18 | 5,30 |
Flandre | 17.010 | 16.533 | 67,03 | 68,38 | 5,81 | 5,99 |
Wallonie | 11.698 | 11.256 | 69,64 | 71,70 | 7,61 | 7,95 |
Ce tableau reprend toutes les personnes qui ont travaillé pour le SPF Finances en 2012et 2013, y compris celles qui ont eu un contrat de courte durée.
Le taux d'absents pour maladie correspond au nombre moyen de travailleurs ayant au moins un jour d'absence pour maladie pendant la période considérée multiplié par 100 divisé par le nombre moyen de travailleurs pendant la période considérée.
Le taux d'absentéisme pour maladie correspond au nombre de jours d'absence pour maladie multiplié par 100 divisé par le produit du nombre d'équivalents temps-plein (ETP) et du nombre de jours ouvrables à prester pour un ETP.
(GRI - Indicateur LA7)
Administrations générales
Niveau | A | B | C | D | |
---|---|---|---|---|---|
AGFisc | 2.973 | 3.001 | 2.417 | 807 | 9.198 |
AGD&A | 533 | 1.183 | 1.363 | 580 | 3.659 |
AGPR | 686 | 856 | 1.011 | 260 | 2.813 |
AGISI | 357 | 190 | 42 | 17 | 606 |
AGDP | 884 | 1.224 | 1.502 | 292 | 3.902 |
AGTrés | 124 | 167 | 145 | 54 | 490 |
Total | 5.557 | 6.621 | 6.480 | 2.010 | 20.668 |
Services d'encadrement
Niveau | A | B | C | D | |
---|---|---|---|---|---|
EES | 75 | 20 | 19 | 12 | 126 |
B&CG | 82 | 32 | 31 | 11 | 156 |
P&O | 273 | 242 | 250 | 76 | 841 |
ICT | 155 | 218 | 48 | 22 | 443 |
SL | 75 | 140 | 221 | 276 | 712 |
Total | 660 | 652 | 569 | 397 | 2.278 |
Services autonomes
Niveau | A | B | C | D | |
---|---|---|---|---|---|
SDA | 103 | 70 | 17 | 190 | |
Service de conciliation fiscale | 24 | 6 | 3 | 33 | |
Total | 127 | 76 | 20 | 223 |
Services du président
Niveau | A | B | C | D | |
---|---|---|---|---|---|
Président du Comité de direction | 20 | 9 | 2 | 2 | 33 |
CSC | 49 | 8 | 7 | 64 | |
PSMC | 29 | 38 | 37 | 8 | 112 |
DD | 3 | 3 | |||
Fiscalité des investissements étrangers | 3 | 1 | 4 | ||
Observatoire de la fiscalité régionale | 2 | 1 | 3 | ||
Service juridique central | 7 | 1 | 8 | ||
Gestion des données personnelles | 3 | 1 | 1 | 5 | |
Audit interne | 4 | 1 | 5 | ||
Privacy | 3 | 3 | |||
Total | 123 | 59 | 48 | 10 | 240 |
Total global
Niveau | A | B | C | D | |
---|---|---|---|---|---|
Total global | 6.467 | 7.408 | 7.117 | 2.417 | 23.409 |
Nombres en effectifs.
Le personnel de Fedorest et de nettoyage (respectivement 993 et 799 personnes) n'est pas repris dans ce tableau.
Ce tableau est basé sur la "Liste d'intégration" mise à jour mensuellement. Il s'agit de la base de données organisant la nouvelle structure du SPF Finances (A.R. du 03.12.2009)
Administrations générales
Statut | Contractuels | Rosetta | Statutaires | |
---|---|---|---|---|
AGFisc | 656 | 47 | 8.495 | 9.198 |
AGG&A | 228 | 24 | 3.407 | 3.659 |
AGPR | 243 | 21 | 2.549 | 2.813 |
AGISI | 6 | 600 | 606 | |
AGDP | 519 | 49 | 3.334 | 3.902 |
AGTrés | 76 | 3 | 411 | 490 |
Total | 1.728 | 144 | 18.796 | 20.668 |
Services d'encadrement
Statut | Contractuels | Rosetta | Statutaires | |
---|---|---|---|---|
EES | 16 | 6 | 104 | 126 |
B&CG | 18 | 4 | 134 | 156 |
P&O | 99 | 15 | 727 | 841 |
ICT | 22 | 3 | 418 | 443 |
SL | 171 | 55 | 486 | 712 |
Total | 326 | 83 | 1.869 | 2.278 |
Services autonomes
Statut | Contractuels | Rosetta | StatutairesC | |
---|---|---|---|---|
SDA | 4 | 186 | 190 | |
Service de conciliation fiscale | 1 | 32 | 33 | |
Total | 5 | 218 | 223 |
Services du président
Statut | Contractuels | Rosetta | Statutaires | |
---|---|---|---|---|
Président du Comité de direction | 4 | 5 | 24 | 33 |
CSC | 5 | 2 | 57 | 64 |
PSMC | 22 | 90 | 112 | |
DD | 1 | 2 | 3 | |
Cellule Fiscalité des investissements étrangers | 4 | 4 | ||
Observatoire de la fiscalité régionale | 3 | 3 | ||
Service juridique central | 8 | 8 | ||
Gestion des données personnelles | 5 | 5 | ||
Audit interne | 5 | 5 | ||
Privacy | 1 | 2 | 3 | |
Total | 33 | 7 | 200 | 240 |
statut | Contractuels | Rosetta | Statutaires | |
---|---|---|---|---|
Total | 2.092 | 234 | 21.083 | 23.409 |
Nombres en effectifs.
Le personnel de Fedorest et de nettoyage (respectivement 993 et 799 personnes) n'est pas repris dans ce tableau.
Ce tableau est basé sur la "Liste d'intégration" mise à jour mensuellement. Il s'agit de la base de données organisant la nouvelle structure du SPF Finances (A.R. du 03.12.2009).
Administrations générales
Age | 18-25 | 26-35 | 35-45 | 46-55 | 55-60 | 60+ | |
---|---|---|---|---|---|---|---|
AGFisc | 122 | 935 | 2.168 | 3.350 | 2.121 | 502 | 9.198 |
AGD&A | 163 | 581 | 635 | 1.143 | 961 | 176 | 3.659 |
AGPR | 36 | 393 | 564 | 1.074 | 632 | 114 | 2.813 |
AGISI | 15 | 157 | 161 | 165 | 96 | 12 | 606 |
AGDP | 105 | 557 | 753 | 1.277 | 947 | 263 | 3.902 |
AGTrés | 7 | 59 | 78 | 205 | 111 | 30 | 490 |
Total | 448 | 2.682 | 4.359 | 7.214 | 4.868 | 1.097 | 20.668 |
Services d'encadrement
Age | 18-25 | 26-35 | 35-45 | 46-55 | 55-60 | 60+ | |
---|---|---|---|---|---|---|---|
EES | 7 | 22 | 25 | 34 | 27 | 11 | 126 |
B&CG | 7 | 42 | 36 | 50 | 18 | 3 | 156 |
P&O | 19 | 112 | 182 | 294 | 199 | 35 | 841 |
ICT | 3 | 109 | 118 | 146 | 53 | 14 | 443 |
SL | 59 | 92 | 116 | 253 | 155 | 37 | 712 |
Total | 95 | 377 | 477 | 777 | 452 | 100 | 2.278 |
Services autonomes
Age | 18-25 | 26-35 | 35-45 | 46-55 | 55-60 | 60+ | |
---|---|---|---|---|---|---|---|
SDA | 20 | 61 | 53 | 37 | 16 | 3 | 190 |
Service de conciliation fiscale | 4 | 9 | 12 | 7 | 1 | 33 | |
Total | 20 | 65 | 62 | 49 | 23 | 4 | 223 |
Services du président
Age | 18-25 | 26-35 | 35-45 | 46-55 | 55-60 | 60+ | |
---|---|---|---|---|---|---|---|
Président du Comité de direction | 7 | 6 | 7 | 4 | 5 | 4 | 33 |
CSC | 4 | 26 | 17 | 14 | 2 | 1 | 64 |
PSMC | 21 | 38 | 32 | 17 | 4 | 112 | |
DD | 2 | 1 | 3 | ||||
Fiscalité des investissements étrangers | 2 | 2 | 4 | ||||
Observatoire de la fiscalité régionale | 1 | 1 | 1 | 3 | |||
Service juridique central | 1 | 1 | 4 | 1 | 1 | 8 | |
Gestion des données personnelles | 1 | 1 | 3 | 5 | |||
Audit interne | 1 | 1 | 2 | 1 | 5 | ||
Privacy | 2 | 1 | 3 | ||||
Total | 11 | 57 | 67 | 63 | 30 | 12 | 240 |
Age | 18-25 | 26-35 | 35-45 | 46-55 | 55-60 | 60+ | |
---|---|---|---|---|---|---|---|
Total global | 574 | 3.181 | 4.965 | 8.103 | 5.373 | 1.213 | 23.409 |
Nombres en effectifs.
Le personnel de Fedorest et de nettoyage (respectivement 993 et 799 personnes) n'est pas repris dans ce tableau.
Ce tableau est basé sur la "Liste d'intégration" mise à jour mensuellement. Il s'agit de la base de données organisant la nouvelle structure du SPF Finances (A.R. du 03.12.2009)
Administrations générales
Langue | FR | D | NL | |
---|---|---|---|---|
AGFisc | 3.970 | 81 | 5.147 | 9.198 |
AGD&A | 1.072 | 50 | 2.537 | 3.659 |
AGPR | 1.339 | 27 | 1.447 | 2.813 |
AGISI | 248 | 358 | 606 | |
AGDP | 1.735 | 45 | 2.122 | 3.902 |
AGTrés | 247 | 243 | 490 | |
Total | 8.611 | 203 | 11.854 | 20.668 |
Services d'encadrement
Langue | FR | D | NL | |
---|---|---|---|---|
EES | 66 | 1 | 59 | 126 |
B&CG | 71 | 85 | 156 | |
P&O | 420 | 4 | 417 | 841 |
ICT | 228 | 215 | 443 | |
SL | 297 | 2 | 413 | 712 |
Total | 1.082 | 7 | 1.189 | 2.278 |
Services autonomes
Langue | FR | D | NL | |
---|---|---|---|---|
SDA | 84 | 106 | 190 | |
Service de conciliation fiscale | 16 | 17 | 33 | |
Total | 100 | 123 | 223 |
Services du président
Langue | FR | D | NL | |
---|---|---|---|---|
Président du Comité de direction | 15 | 18 | 33 | |
CSC | 29 | 35 | 64 | |
PSMC | 62 | 50 | 112 | |
DD | 1 | 2 | 3 | |
Fiscalité des investissements étrangers | 2 | 2 | 4 | |
Observatoire de la fiscalité régionale | 2 | 1 | 3 | |
Service Juridique Central | 4 | 4 | 8 | |
Gestion des données personnelles | 3 | 2 | 5 | |
Audit interne | 1 | 4 | 5 | |
Privacy | 3 | 3 | ||
Total | 122 | 118 | 240 |
Langue | FR | D | NL | |
---|---|---|---|---|
Total global | 9.915 | 210 | 13.284 | 23.409 |
Nombres en effectifs.
Le personnel de Fedorest et de nettoyage (respectivement 993 et 799 personnes) n'est pas repris dans ce tableau.
Ce tableau est basé sur la "Liste d'intégration" mise à jour mensuellement. Il s'agit de la base de données organisant la nouvelle structure du SPF Finances (A.R. du 03.12.2009).
(GRI - Indicateur LA1)
Le Service Gestion des plaintes comprend deux volets :
En 2013, le SPF Finances a comptabilisé 398 plaintes.
Les plaintes relèvent de sujets répertoriés en quatre grandes catégories :
Le Service Gestion des plaintes réceptionne également des requêtes diverses. Celles-ci ne sont pas des plaintes à proprement parler, puisqu’elles ne répondent pas à la définition donnée par le SPF Finances au terme "plainte". Néanmoins, le Service Gestion des plaintes prend également en charge le traitement de ces requêtes, s’élevant à 420 en 2013, réparties comme suit :
Le Service Gestion des plaintes comprend deux volets :
En 2013, le SPF Finances a comptabilisé 398 plaintes.
Les plaintes relèvent de sujets répertoriés en quatre grandes catégories :
Le Service Gestion des plaintes réceptionne également des requêtes diverses. Celles-ci ne sont pas des plaintes à proprement parler, puisqu’elles ne répondent pas à la définition donnée par le SPF Finances au terme "plainte". Néanmoins, le Service Gestion des plaintes prend également en charge le traitement de ces requêtes, s’élevant à 420 en 2013, réparties comme suit :
Un guide plutôt qu’un code
La déontologie au SPF Finances n’est pas vraiment neuve. Ce n’est pas un hasard si les valeurs du SPF Finances définies dans le plan de management "Horizon 2012-2017" sont : "correct", "serviable", "passionné" mais aussi "intègre". Par la création d’un guide du cadre déontologique, le Comité de direction a visé, avant tout, une harmonisation de la mentalité, de l’état d’esprit, des attitudes du personnel, quel que soit le service auquel il appartient. Il est donc rapidement apparu que le côté normatif d’un cadre n’était pas la meilleure solution. Guy Vandeput, secrétaire du Comité de direction, précise que le groupe de travail à l’origine du projet a préféré réaliser un guide plutôt qu'un code pour aider le personnel. Il précise : "On ne doit donc pas l’utiliser comme un instrument contraignant. Pour ça, on peut se référer au "statut"."
Pratique avant tout
Le guide du cadre déontologique est le fruit d’un travail d’équipe et a reçu le soutien du Bureau d’Ethique et de Déontologie du SPF Budget et Contrôle de la gestion.
Le résultat se décline en une vingtaine de pages, qui a le mérite de centraliser l’information existante, laquelle était disséminée un peu partout. Il va aussi un pas plus loin en triant, recoupant les doublons et aussi en simplifiant les textes. Ce guide du cadre déontologique se veut actuel et vivant et fait référence aux textes réglementaires comme ceux provenant de l’OCDE, de l’Union européenne ou des autres institutions internationales, sans compter les références internes comme le code ICT ou les circulaires spécifiques aux Douanes et Accises, à la Trésorerie, etc.
Sa version PDF en fait un outil imprimable. Il constitue un véritable instrument pratique de travail, un cadre de référence, un guide dans les choix que les membres du personnel du SPF Finances sont amenés à opérer.
Un guide à faire évoluer
S’il veut se positionner comme un outil de travail fiable, le guide de cadre déontologique doit pouvoir évoluer. Certains des thèmes qu’il traite sont, en effet, concernés par les évolutions (techniques, éthiques, légales, etc.) de notre société. On comprend donc que c’est un travail sur le long terme et en constante évolution.
(GRI - Indicateur SO4)
Internes - Siège central + 328 bureaux extérieurs |
Collaborateurs |
Services d'encadrement |
Administrations générales |
Services du Président |
Services autonomes |
Citoyens, contribuables - redevables, syndicats |
Partenaires institutionnels et Société civile |
Chancellerie du Premier ministre |
Cabinets |
Gouvernement |
Parlement |
Union des villes et communes |
Provinces |
Régions |
Communautés |
Services publics fédéraux |
Services publics fédéraux de programmation |
Inspections des Finances |
Union européenne |
Institutions européennes |
Chambres de commerce belges et étrangères |
Ambassades, consulats |
Cour des comptes |
Commissions de frontières |
Cadastre vietnamien |
Police, Interpol, Europol |
Entreprises, communautés |
Fédérations d'entreprises |
Entreprises belges |
Entreprises étrangères |
Associations |
ONG |
Clubs sportifs |
Mutualités |
Banques |
CPAS |
La Poste |
Scientifiques, spécialistes et experts |
Universités |
Huissiers, notaires, mediateurs de dettes |
Avocats, cours, tribunaux |
Architectes, géomètres |
Institut National Géographique |
Institut National des Statistiques |
Centres de recherche |
Professionnels du Chiffres (IPP, ISOC, TVA, comptabilité...) |
Bureaux de consultance (IT, Business...) |
Médias, presse |
Fournisseurs et créanciers |
La loi du 30 juillet 2013 (MB du 28 août 2013) instaure une procédure de certification des systèmes de caisse enregistreuse. Cette procédure de certification est obligatoire pour tout importateur ou fabricant de systèmes de caisse et de fiscal data module mis sur le marché en Belgique. Cette procédure garantit que les systèmes de caisse enregistreuse vendus et installés correspondront aux exigences techniques imposées.
Pour rappel, l’introduction du système de caisse enregistreuse a été prise en accord avec le secteur pour lutter contre la fraude, en échange d’une baisse depuis le 1er janvier 2010 du taux de TVA de 21 % à 12 % sur les services de restaurant et de restauration.
(GRI - Indicateur SO4)
Les chiffres des deux dernières années :
La PDS est une déclaration pré-remplie pour certaines catégories de contribuables dont la situation fiscale est en principe stable (pensionnés, bénéficiaires de revenus de remplacement, etc.). Elle reprend le calcul de leur impôt, basé sur les données fiscales dont a connaissance le SPF Finances. Cette PDS comporte quatre pages au lieu d’environ 60 pages de déclaration.
En outre, les parties 1 et 2 de la déclaration à l’IPP ont été intégrées afin d’obtenir un seul formulaire scannable A3 à la place de deux. Ce sont près de 380.000 formulaires scannables en moins à imprimer.
Enfin, en 2013, 394.715 contribuables ont opté pour l’envoi électronique de l’avertissement-extrait de rôle via le système Zoomit intégré dans leur PC-banking. Une modification du Code des impôts sur les revenus 1992 (intervenue dans la loi du 17 juin 2013 portant des dispositions fiscales et financières et des dispositions relatives au développement durable) a conféré une valeur juridique équivalente aux avertissements-extrait de rôle électronique et papier. Ainsi, depuis le 25 octobre 2013, l’avertissement-extrait de rôle papier n’est plus envoyé aux contribuables qui optent pour Zoomit.
(GRI - Indicateur EN26)
Les chiffres des deux dernières années :
La PDS est une déclaration pré-remplie pour certaines catégories de contribuables dont la situation fiscale est en principe stable (pensionnés, bénéficiaires de revenus de remplacement, etc.). Elle reprend le calcul de leur impôt, basé sur les données fiscales dont a connaissance le SPF Finances. Cette PDS comporte quatre pages au lieu d’environ 60 pages de déclaration.
En outre, les parties 1 et 2 de la déclaration à l’IPP ont été intégrées afin d’obtenir un seul formulaire scannable A3 à la place de deux. Ce sont près de 380.000 formulaires scannables en moins à imprimer.
Enfin, en 2013, 394.715 contribuables ont opté pour l’envoi électronique de l’avertissement-extrait de rôle via le système Zoomit intégré dans leur PC-banking. Une modification du Code des impôts sur les revenus 1992 (intervenue dans la loi du 17 juin 2013 portant des dispositions fiscales et financières et des dispositions relatives au développement durable) a conféré une valeur juridique équivalente aux avertissements-extrait de rôle électronique et papier. Ainsi, depuis le 25 octobre 2013, l’avertissement-extrait de rôle papier n’est plus envoyé aux contribuables qui optent pour Zoomit.
(GRI - Indicateur EN26)
En 2013, on comptait 4.862 télétravailleurs, soit 20,54 % du personnel du SPF Finances. Au total, cela représente 66.173 journées de télétravail prestées. Au sein du SPF Finances, le télétravail reste plus populaire que le travail en bureau satellite (qui permet au collaborateur de travailler dans un bureau du SPF Finances qui n'est pas le sien et qui est par exemple situé près de son domicile).
En avril 2013, une dizaine de collaborateurs ont participé au projet pilote "travail en bureau satellite", à Mons et à Alost. Leur avis, partagé par leurs chefs, était très posititif. Après la période rush des déclarations d’impôt, les premiers bureaux satellites ont été ouverts début août. En 2013, 169 collaborateurs ont pu expérimenter cette nouvelle méthode de travail, soit un total de 1.390 jours de travail. Fin 2013, il était possible de travailler dans une quarantaine de bureaux, offrant un total de 200 places.
"Travailler autrement" offre autant d’avantages au personnel qu’à l’employeur. Le télétravail et le travail en bureau satellite témoignent de la confiance accordée à son personnel, qui se retrouve ainsi d’autant plus responsabilisé. De nombreuses études démontrent aussi que la satisfaction et la motivation du personnel augmentent dans des conditions de travail à distance. L’employeur y gagne en productivité. Le défi des années à venir, pour les chefs de service, sera de s’orienter vers un travail défini en termes d’objectifs, sur lequel repose la confiance. Et ainsi se détacher progressivement d’un travail perçu en termes de présence physique.
(GRI - Indicateur EN26)
Les services d'encadrement ICT, Logistique et le service SIPPT ont travaillé conjointement pour trouver un compromis entre confort d’utilisation et réduction substantielle du nombre d'imprimantes. Les chiffres ? Dorénavant, un appareil pour vingt utilisateurs et une distance maximale de vingt mètres entre l'utilisateur et l'imprimante.
À présent, les nouveaux appareils n'appartiennent plus à un service ou une administration mais sont accessibles par tous. Chaque utilisateur peut imprimer des documents sur toutes les imprimantes présentes dans le bâtiment. Bien sûr, dans ce cadre, garantir la confidentialité de certains documents est important. Toutes les nouvelles imprimantes multifonctionnelles sont donc équipées d’un système d’impression sécurisée (secure printing). Les documents ne sont imprimés que lorsque l'utilisateur s'est identifié à l'aide de son nom d'utilisateur et de son mot de passe.
Ces nouvelles imprimantes ont encore d'autres avantages. L'impression en noir et blanc et les photocopies sont dorénavant réalisées à la vitesse de 30 à 40 pages par minute. La possibilité de scanner un document en couleur et de l'envoyer par e-mail remplace les messages fax sortants classiques. Les fax entrants sont délivrés par e-mail, comme avant. Les imprimantes sont configurées de manière standard pour imprimer recto/verso. Ceci, dans un souci d’économie importante de consommation de papier.
(GRI - Indicateur EN26)
Cette cellule existe depuis le 1er septembre 2012. Elle est composée d’ingénieurs, de spécialistes en sciences commerciales et en informatique, ainsi que d’un criminologue. Tous ont des connaissances approfondies en matière de douane et accises. Depuis sa fondation jusqu’à fin 2013, 331 sites web ont été fermés. Il s’agit généralement de sites qui commercialisent des marchandises et des médicaments contrefaits.
Les recherches s’effectuent de deux manières :
Fermer un site web n’est pas suffisant. La douane mène également une enquête pour identifier qui se cache derrière ce site. Si ce sont des Belges, l’affaire est suivie par le parquet. Sinon, la douane collabore avec ses collègues étrangers.
(GRI - Indicateur SO4)
Les données scannées ont été introduites dans une base de données commune via laquelle la douane peut vérifier la taxe de circulation. Cette base de données sera encore élargie à l’avenir. On pourra y consulter les infractions en matière de diesel rouge, les défauts d'assurance et les amendes pénales.
Nouvelles possibilités grâce à cette base de données :
Sanctions
Le conducteur en défaut de taxe de circulation ou qui aurait des amendes impayées, doit payer immédiatement. Si ce n'est pas le cas, le véhicule est saisi.
Les douaniers dressent un procès-verbal transmis au parquet en cas de véhicule non-assuré. Le véhicule ou les plaques sont saisis.
Les conducteurs en défaut de contrôle technique se voient dresser un procès-verbal transmis au parquet. Ils devront présenter leur véhicule à l’inspection automobile dans les plus brefs délais.
S’agit-il d’un bon investissement ?
Grâce aux nouveaux scanners, l’AGD&A ne contrôle que les véhicules en défaut. D’une part, les scanners permettent d’augmenter l’efficience des contrôles douaniers sur la route. D’autre part, ils permettent d’améliorer les prestations de service en évitant de retenir ceux qui respectent les règles.
Les bénéfices financiers de cet investissement sont spectaculaires. En 2013, un montant de 4.510.704 euros a été perçu pour les taxes routières et les saisies. La perception des amendes pénales a rapporté 268.294 euros en 2013. Enfin, les contrôles de carburant sur les véhicules en infraction pour usage de diesel rouge ont déjà rapporté 415.875 euros.
* Loi du 17 juin 2013 publiée au MB le 28 juin 2013.
(GRI - Indicateur SO4)
Depuis 2011, la douane utilise des chiens pour détecter la drogue et aussi les grosses quantités d’argent liquide. On ne choisit pas n’importe quel chien pour ce travail. Si certaines races ont plus d’aptitudes (p. ex. les bergers, malinois, labradors ou springers), le caractère du chien est aussi déterminant. La douane applique une procédure de sélection très stricte. Avant d’être achetés, les chiens présélectionnés sont soumis à une période d’essai pendant laquelle ils sont soigneusement testés par les instructeurs de la brigade cynophile.
Pour les chiens, tout est une question d’odeur et de jeu. Ils sont conditionnés à reconnaître certaines odeurs et à réagir d’une manière définie à leur contact. Certains chiens dits actifs aboient énergiquement lorsqu’ils trouvent de la drogue ou de l’argent, et d’autres dits passifs se couchent devant leur trouvaille. Ces derniers sont plus particulièrement destinés à la réalisation des contrôles sur les personnes. C’est juste une question de caractère et d’apprentissage. Cet apprentissage se déroule sous forme de jeu continu et le chien est récompensé quand il fait ce que son maître attend de lui.
La durée de la formation d’un chien varie de six mois à un an. Il doit suivre un entraînement mensuel et parfois un programme de remise à niveau au cours de sa "carrière". Un chien travaille environ neuf ans avant de profiter d’une retraite paisible.
L’amélioration de la formation des chiens ainsi que les contrôles plus ciblés ont donné de meilleurs résultats que les années précédentes. En 2013, 324.140 euros ont étés saisis, soit 315.140 euros de plus qu’en 2012.
(GRI - Indicateur SO4)
Depuis 2011, la douane utilise des chiens pour détecter la drogue et aussi les grosses quantités d’argent liquide. On ne choisit pas n’importe quel chien pour ce travail. Si certaines races ont plus d’aptitudes (p. ex. les bergers, malinois, labradors ou springers), le caractère du chien est aussi déterminant. La douane applique une procédure de sélection très stricte. Avant d’être achetés, les chiens présélectionnés sont soumis à une période d’essai pendant laquelle ils sont soigneusement testés par les instructeurs de la brigade cynophile.
Pour les chiens, tout est une question d’odeur et de jeu. Ils sont conditionnés à reconnaître certaines odeurs et à réagir d’une manière définie à leur contact. Certains chiens dits actifs aboient énergiquement lorsqu’ils trouvent de la drogue ou de l’argent, et d’autres dits passifs se couchent devant leur trouvaille. Ces derniers sont plus particulièrement destinés à la réalisation des contrôles sur les personnes. C’est juste une question de caractère et d’apprentissage. Cet apprentissage se déroule sous forme de jeu continu et le chien est récompensé quand il fait ce que son maître attend de lui.
La durée de la formation d’un chien varie de six mois à un an. Il doit suivre un entraînement mensuel et parfois un programme de remise à niveau au cours de sa "carrière". Un chien travaille environ neuf ans avant de profiter d’une retraite paisible.
L’amélioration de la formation des chiens ainsi que les contrôles plus ciblés ont donné de meilleurs résultats que les années précédentes. En 2013, 324.140 euros ont étés saisis, soit 315.140 euros de plus qu’en 2012.
(GRI - Indicateur SO4)
Pour la première fois, le service DD a mis l’ensemble des collaborateurs au cœur de l’organisation de la Journée du Volontariat. En faisant appel à eux et à leurs idées d’actions, un programme riche et varié, créé donc en partie d’après les propositions des volontaires, leur a été proposé. Résultat : 275 volontaires étaient présents sur le terrain le samedi 20 avril 2013.
Une enquête a montré une satisfaction quasi générale. Les commentaires des participants et des structures qui les ont accueillis étaient constructifs. Extraits : "organisation structurée et dynamique", "contrat clair et précis", "journée agréable et équipe super", "travail efficace", "sentiment d’utilité", "belle diversité"… Mais aussi "peu d’activités près de chez moi", "activité trop éprouvante", "manque de bénévoles"… Beaucoup d’encouragement donc pour poursuivre cette aventure.
Le grand défi pour 2014 ? Doubler le chiffre des volontaires du SPF Finances et ainsi bénéficier d’un impact positif plus conséquent encore pour la société. Cette démarche, qui a reçu le soutien du résident du Comité de direction, s’inscrit pleinement dans la volonté du SPF Finances d’agir dans le cadre de la responsabilité sociétale.
(GRI - Indicateur EN26)
Parmi les dix engagements de la charte, deux ont occupé une place primordiale au niveau du programme de coaching : consommation moindre de viande (principalement rouge) et consommation plus importante de fruits et légumes locaux et de saison. Les cuisiniers ont pu suivre différents ateliers, salons, séances de formation et de dégustation thématiques. Pour clôturer ce programme, une enquête a été envoyée à tous les collaborateurs du SPF Finances en contact avec les restaurants concernés.
Cette enquête, dont les résultats sont à nuancer puisqu’elle était ouverte à tous (y compris aux collaborateurs qui ne mangent pas au restaurant) et non obligatoire, révèle certaines tendances. Près de 70 % des répondants ont constaté l’effort réalisé en 2013 en vue de diminuer la consommation de viande en général. Par contre, les fruits et légumes se retrouvent encore en quantité insuffisante dans les assiettes. L’appréciation des plats végétariens est relativement bonne et varie de "moyen" à "bon". Enfin, l’enquête établit également des points d’attention soumis par les collaborateurs : prévoir une offre saine mais peu calorique, opter dès que possible pour des producteurs locaux, réduire les déchets et éviter le gaspillage alimentaire, ainsi que choisir des poissons sains, non menacés et péchés ou élevés de façon durable.
Bien qu’il y ait encore du travail, les résultats sont globalement positifs, avec des constats factuels : une réelle diminution (en termes de grammage) de viande dans les plats et une offre végétarienne plus régulière et aboutie qu’auparavant. A l’issue de cette enquête, Fedorest a créé un groupe de travail dont le but sera de déterminer des critères durables précis à prendre en compte dans tous ses restaurants.
(GRI - Indicateur EN26)
Comme EMAS, mais dans une version plus allégée, le label Entreprise Eco-dynamique implique différents éléments :
Concrètement, il s’agit d’analyser les impacts des activités du SPF Finances sur le milieu, de communiquer à ce sujet et de sensibiliser les collaborateurs, de déterminer les objectifs et les indicateurs environnementaux, d’appliquer les bonnes pratiques qui en résultent, de planifier le système de management et enfin de le déployer dans toute l’organisation pour les bâtiments à Bruxelles. L’IBGE reconduit son label tous les trois ans à l’issue d’un dossier de renouvellement.
Le North Galaxy devrait obtenir le label pour octobre 2014. Suivront, d’ici la fin 2015, en un seul package, la Finance Tower et les bâtiments situés avenue des Arts, 24 rue de la Loi, rue des Palais et rue de la Régence. L’objectif d’enregistrement EMAS, quant à lui, est toujours prévu pour 2017.
(GRI - Indicateur EN26)
Le service DD a reçu une soixantaine de propositions différentes. Après une première discussion avec le Président du Comité de direction, 42 sont soumises à une étude de faisabilité. La Régie des bâtiments, Fedorest, le service P&O, le service Bien-être… ont été ou vont être consultés pour mener au mieux les projets. Le maximum est fait pour que la plupart d’entre eux concernent tous les collaborateurs, répartis dans plusieurs centaines de bâtiments en Belgique.
Voici quelques suggestions reçues : l’installation de détecteurs de lumière, un meilleur soutien aux personnes malvoyantes, l’utilisation de cartouches d’encre recyclées, la création d’un service d’archives, une sensibilisation au développement durable plus conséquente…
(GRI - Indicateur EN26)
En novembre 2012, les services P&O et DD ont créé une plateforme "SPF Finances" dans la grande banque de données liée au covoiturage : Carpoolplaza.
C’était une bonne initiative… Mais force est de constater que le succès ne s’est pas révélé en 2013 : en décembre 2013, seules 89 personnes travaillant au SPF Finances étaient répertoriées sur le site de Carpoolplaza, malgré les fréquentes communications échelonnées sur 2013. Il s’agit maintenant de déterminer les raisons de cet "échec" et de réagir pour 2014.